Bonjour les amis et les amies

Il ne faudrait pas que ça devienne une habitude!

Et même s’il parait que ça fait partie de l’aventure, j’aimerais bien que d’autres y goûtent  à ma place 😅!

«  mais de quoi donc qu’il cause ? »

Ben oui je me suis encore planté , mais cette fois ci pas dans le sable comme en Islande. Non. Dans la boue… (au moins ça change😁)

Je vous l’ai dit, en Mongolie quand une piste est trop abîmée, on en crée tout naturellement une autre, à côté, et ainsi de suite… ce qui fait qu’il n’est pas rare de se retrouver à devoir faire un choix entre 7 ou 8 pistes allant dans la même direction et parfois distantes les unes les autres de plusieurs centaines de mètres (faut dire que c’est pas la place qui manque!).  Pour les autochtones pas de problème, ils savent laquelle choisir, mais nous non. 



 autoroute mongole 2 fois 8 voies 😁

Et hier matin, voyant sur le GPS que nous nous éloignions trop de notre trace, nous avons pris la décision de « couper » pour rejoindre celle-ci. Seulement voilà… à cet endroit, le terrain était particulièrement détrempé, même si en surface il n’en avait pas l’aspect. En tout cas difficile pour les néophytes que nous sommes de repérer la nature du sol. Jean-Pierre choisit de se lancer dans la traversée. Et là, scission du cerveau, avec, un signal d’alerte, qui bippe: « NON, n’y va pas, il est à la limite de s’embourber!», et le constat de l’apparence « ben, il passe tout de même, est ce que j’ai tort de flipper? ». Eh bien sûr , j’ai bêtement voulu le suivre alors que je voyais bien qu’il s’enfonçait, mais, étant plus léger que moi, en accélérant, il a réussi à passer, alors que moi, quelques mètres après m’être lancé, en accélérant… je suis resté sur place, totalement embourbé.

Impossible de se sortir de la, JPierre et Maïté sont allés demander de l’aide à quelques km, et bien vite 7 mongoles nous rejoignent (4 jeunes dont un hyper actif: Bort, 3 « vieux » qui commentent, et deux loulous de 1 et 3 ans…)

6 heures sans interruption, soleil, vent, à tenter d’évacuer de la boue autour des roues, sous la voiture… à aller chercher des pierres, du bois, pour créer des appuis et peut être soulever la Bête, à tenter de la tirer de là, sans succès (et en s’enfonçant toujours davantage: là où le matin nous pouvions marcher sur le sol meuble, au bout de 6 h on pouvait par endroit s’enfoncer au dessus du genou!)…. Heureusement après plusieurs tentatives, l’Isuzu revient sur la terre ferme. Oh la joie!  Nos aidants nous emmènent à la rivière la nettoyer, nous les remercions avec nos pauvres mots et des tigrits (monnaie Mongole). Et c’est reparti!

Pour le reste, je vous laisse admirer le reportage-photo que Jean Pierre en a fait, ça a duré tout de même… 6 heures 🤣…

 






























No comment!

À bientôt
Bises à tous
Jean Marc et Maïté 









 Bonjours les Amis et les Amies CHEFCHAOUEN Ici tout est bleu Les tombes… Les taxis Les maisons, du sol au plafond… Les fontaines… Les porte...